Jamilla P.
Petit rappel sur le malus et son fonctionnement
Quand j’ai eu mon premier accident de voiture, j’étais pas mal stressé. Franchement, j’avais aucune idée du système de malus qui allait me tomber dessus. Je suis sûr que certains d’entre vous s’en souviennent aussi, non? Vous savez, ce moment où, au lieu de juste s’inquiéter de la voiture, on commence à réfléchir à combien ça va nous coûter sur le long terme. C’est là que je me suis rendu compte que le malus maximum était un vrai casse-tête.
Pour vous donner une idée, le coefficient maximal est fixé à 3,5. Cela signifie qu’avec une prime de référence de 1 000 €, la prime maximale que vous pouvez recevoir s’envole à 3 500 €. Le pire, c’est quand on se dit que ce montant pourrait très facilement devenir une réalité si l’on est partiellement responsable d’un incident. Et croyez-moi, cette majoration de 12,5% me reste en travers de la gorge, ah là là.
Comment ça fonctionne vraiment ?
- Coefficient de malus : On parle de coefficients qui sont appliqués après un accident. Si vous n’êtes pas responsable, c’est plutôt positif. Mais si vous avez un petit penchant pour les accidents, ça peut faire mal.
- Majorations : Souvenez-vous, si vous êtes en partie responsable, attendez-vous à une belle surprise avec cette majoration de 12,5%. Ça vous pousse à faire super attention, croyez-moi.
- Durée : Le malus reste actif pendant deux ans. Je me rappelle avoir eu cette pensée horrible, « comment je vais payer ça pendant si longtemps ? »
Ça a aussi pris du temps pour que je réalise que chaque petite rayure peut coûter cher à la fin. Donc voilà, ce malus maximum, c’est comme une épée de Damoclès qui vous suit, surtout quand vous débutez! Quant à moi, après cet accident, j’ai pris mes précautions: j’ai commencé à conduire comme un vieux. Pas de stress, pas de coups de freins brusques ! Je me suis dit que c’était mieux de rester du bon côté de la route, littéralement.