Qui finance l’IRA ? Un petit tour de l’histoire
Ah, l’IRA ! Le sujet qui peut faire monter la pression au café du coin ou déclencher des discussions passionnées entre amis. Une des questions qui revient souvent, c’est : qui finance l’IRA ? Alors, installe-toi confortablement, je vais te raconter un peu de ce que j’ai compris à ce sujet, et croyez-moi, ce n’est pas si simple !
Au début, la source des fonds de l’IRA provenait en grande partie de la diaspora irlandaise. Imagine le scénario : des Irlandais vivant aux États-Unis, fatigués d’entendre parler des injustices chez eux, décident d’envoyer de l’argent pour soutenir la cause. C’est là que la fondation Financement entre en jeu. Oui, tu as bien entendu. Des dons étaient collectés, souvent de manière pas très transparente, pour alimenter les actions de l’IRA. Ça te rappelle pas un autre type de collectes de fonds ? Peut-être que certains bénévoles seraient pas du tout amicaux.
Le lien avec des groupes reliés
Mais ce n’est pas tout ! L’IRA était (et est toujours, dans une certaine mesure) reliée à des groupes comme le Continuity Irish Republican Army et le Real Irish Republican Army. Ces groupes ont souvent eu besoin de financements pour leurs opérations. Comment faisaient-ils ? En plus des dons, eux aussi utilisaient des moyens plus sombres comme le racket. Je me souviens avoir lu quelque part que certains d’entre eux avaient des « boulots » qui ne plaisaient pas vraiment à la loi. Étonnant, non ?
- Financement via la diaspora irlandaise
- Racket et collectes illégales
- Liens avec le Continuity IRA
- Actions en réponse à la répression
Et pour te donner un chiffre qui pourrait t’intéresser : à un moment, il y avait assez de fonds en circulation pour maintenir des opérations assez conséquentes. Tout ça, tout en sachant que la plupart des prisonniers étaient relâchés après l’Accord du Vendredi Saint. Ce qui fait que l’IRA a continué à recevoir un soutien financier malgré les répercussions. C’est un peu comme ces séries où les protagonistes se sortent toujours des pires situations, tu vois ce que je veux dire ?