Un Petit Voyage dans l’Histoire de ManoMano
Ah, ManoMano ! Qui aurait pensé qu’une simple plateforme de bricolage pourrait avoir une histoire aussi fascinante ? J’ai été intrigué par cette entreprise, surtout après avoir passé des heures à traquer des outils de jardinage en ligne. Alors, plongeons dans les origines, voulez-vous ?
Donc, pour faire simple, ManoMano est géré par Colibrì SAS, une petite société qui a vu le jour en 2012. Ce qui est drôle, c’est que c’est fondée par deux anciens collègues, Christian Raisson et Philippe de Chanville. Je veux dire, qui aurait cru que deux amis pouvaient transformer leur passion pour le bricolage en un empire numérique ?
En 2013, ils ont lancé le site en France, à l’époque où la tendance du DIY (do it yourself) commençait à faire du bruit. Mais vous saviez que ça ne s’appelait même pas ManoMano à l’origine ? Non, ils l’avaient appelé MonEchelle.fr, je trouve ça un peu marrant. Comme si le nom aurait pu les limiter au seul domaine des échelles !
Une Start-up qui a Bien Grimpé
À l’ère où tout le monde veut commander ses bricoles en un clic, ManoMano a su jouer de ses cartes. Ils ont commencé avec des produits de bricolage et de jardinage, et honnêtement, qui ne rêve pas de créer son propre coin de verdure à la maison ? Je me rappelle de mes débuts dans le jardinage, j’avais acheté une pelle et me suis retrouvé avec des tomates… et quelques mauvaises herbes. C’était une expérience révélatrice !
- À l’origine : MonEchelle.fr (pas très engageant, non ?)
- Fondée par des amis, ce qui montre que la passion peut déboucher sur de belles choses !
- Une évolution fulgurante dans le monde du jardinage et du bricolage.
Au fil des années, ils ont développé leur offre et se sont internationalisés. Je me souviens qu’un ami m’a dit un jour : “ManoMano, c’est comme eBay, mais pour les bricoleurs”. J’adore cette comparaison, et je suis sûr qu’elle fait sourire beaucoup de gens ! Qui aurait cru que des outils parfaitement rangés pourraient provoquer une telle effervescence ? Une vraie histoire à partager, non ?