Jamilla P.
Les idées reçues sur la mode rapide
Quand on parle de mode rapide, les gens pensent souvent juste à des vêtements bon marché et tendance. Mais, wow, il y a tellement plus en jeu ici. Je me souviens d’une fois où j’ai acheté un t-shirt juste parce qu’il était à 5 euros, mais je n’avais aucune idée des conséquences de cette offre si alléchante. C’est dingue de réaliser que ce petit achat peut avoir un impact énorme sur notre planète.
La problématique de l’eau
Un des plus gros problèmes avec la mode rapide, c’est son utilisation massive de l’eau. En fait, pour fabriquer un simple t-shirt, il faut pas moins de 2 700 litres d’eau ! Pour mettre ça en perspective, c’est suffisant pour faire boire une personne pendant trois ans. Pendant que je galérais avec mes choix de mode, j’ai appris que cette industrie assèche littéralement nos sources d’eau. Les rivières sont polluées avec des produits chimiques et ça continue à affecter les écosystèmes.
- Les usines déversent des déchets dans les cours d’eau.
- Les communautés locales perdent leur accès à l’eau potable.
- Cela affecte la faune et la flore de manière dévastatrice.
Et pour l’anecdote, une fois, j’ai décidé de faire du « shopping responsable » et je suis allée acheter des vêtements d’occasion. Comprendre que j’évitais de contribuer à ce fiasco de fast fashion était un vrai soulagement, mais en même temps, j’ai vu ces pièces usées qui ont une histoire derrière elles… Ça te fait réfléchir, non ?
Les microfibres et leur impact
Un autre point qui m’a vraiment choqué, c’est le problème des microfibres. Chaque fois que tu laves des vêtements syntétiques, ça libère 500,000 tonnes de microfibres dans l’océan par an. En gros, c’est comme balancer 50 milliards de bouteilles en plastique dans l’eau. C’est complètement fou. On met les mains dans l’urine, j’ai envie de dire ! J’ai personnellement remarqué que les vêtements que je portais souvent étaient en polyester ou autre matière synthétique. Et ouais, j’étais là à penser à quelle couleur je vais porter, alors que le vrai défi est de garder nos océans sains.
Donc, ça fait réfléchir à deux fois avant de cliquer sur « ajouter au panier », non ? J’ai appris à regarder les étiquettes et à choisir des matières qui sont à la fois durables et éthiques. Chaque petit choix compte.