Jamilla P.
Zara et l’éthique : qu’en est-il vraiment ?
Vous savez, j’ai toujours été fan de Zara. J’adore leurs vêtements, ils sont à la mode et pas trop chers. Mais récemment, je me suis demandé si cette passion pour la mode rapide n’était pas en train de me désensibiliser par rapport à des enjeux plus importants, comme l’éthique dans la mode. Ce qui m’a vraiment frappé, c’est le fameux score de Zara sur le Good Shopping Guide. Spoiler alert : c’est pas terrible.
Alors, j’ai commencé à creuser un peu plus. C’est fou comme leur score dans le tableau des détaillants de mode éthique est bas. On parle de peu de transparence sur leurs chaînes d’approvisionnement et encore moins d’initiatives pour protéger les droits des travailleurs. J’ai même eu une expérience où j’ai voulu acheter une jolie robe, mais en lisant les étiquettes, j’ai commencé à me demander, mais qui l’a fabriquée et dans quelles conditions ?
- Conditions de travail : Les rapports ne sont pas rassurants pour les ouvriers dans les usines.
- Durabilité : L’empreinte carbone et les ressources utilisées ne sont pas toujours divulguées.
- Transparence : On reste dans le flou concernant la chaîne d’approvisionnement.
Quid de l’avenir de Zara ?
J’ai aussi appris que les grands groupes comme Inditex, qui possèdent Zara, commencent à réagir aux critiques. On espère, on croise les doigts pour que la marque fasse des progrès dans le respect de leur propre éthique. C’est un peu comme un projet scolaire pour moi… au début, j’ai complètement raté. Puis, j’ai compris que si je veux voir du changement, il faut aussi que je participe, que je pose des questions. S’ils voient que les acheteurs prennent position, peut-être qu’ils commenceront à se soucier un peu plus.
Alors, la prochaine fois que vous êtes tenté(e) par une pièce de chez Zara, demandez-vous : est-ce que cette robe vaut vraiment le coup, sachant ce qu’on sait ? C’est un peu une lutte entre la passion pour la mode et le poids de la conscience. Je poursuis mes recherches, et vous devriez peut-être faire de même. Peut-être qu’on pourra un jour revêtir nos vêtements favoris tout en ayant le cœur léger !